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Au programme, des actions concrètes et locales sur la transition énergétique dans les territoires,
ainsi que des initiatives pour moins (et mieux) consommer l'énergie.
Les éoliennes terrestres sont installées sur la terre ferme, dans un parc éolien. Elles sont déployées sur des terrains où les conditions de vent sont favorables (en montagne, en zone rurale...). Leur capacité de production varie en fonction de leur puissance et de leur taille, mais elles permettent souvent de produire de grandes quantités d’électricité issue du vent.
Les éoliennes offshore sont implantées en mer, où elles bénéficient de la puissance et de la constante des vents du large. Ainsi, elles permettent de produire de plus grandes quantités d’électricité verte que les éoliennes terrestres. En raison des conditions maritimes plus difficiles (éloignement, vagues, courants...), l'installation et la maintenance d’un parc éolien offshore sont plus complexes et plus coûteuses.
Les éoliennes industrielles sont déployées dans des parcs éoliens, situés sur terre ou en mer. Ces installations de grande envergure disposent d’une grande puissance : leur capacité de production peut atteindre plusieurs dizaines, voire centaines, de mégawatts. Elles permettent ainsi de générer de l’électricité à grande échelle. L’énergie qu’elles produisent est ensuite injectée sur le réseau électrique public et sert à alimenter les logements, les bâtiments et les industries en électricité.
L’éolienne domestique est une installation de petite taille et de petite puissance, souvent installée sur le terrain d’un particulier ou, dans certains cas, d'un agriculteur. Placée dans une zone bien exposée au vent, l’éolienne domestique produit de l’électricité généralement destinée à l’autoconsommation. Comme une installation solaire photovoltaïque, elle permet d’alimenter le logement du particulier en électricité et l’aide à réduire sa facture d'énergie.
L’éolienne horizontale exploite l’énergie du vent grâce à ses pales disposées en hélice. Fixées sur un mât, ces dernières tournent autour d’un axe parallèle au sol, en fonction de la vitesse et de la force du vent. C'est le type d’éolienne le plus répandu, car son rendement énergétique est supérieur à celui de l’éolienne verticale.
L’éolienne verticale est composée de pales qui tournent autour d’une tige positionnée sur un axe vertical. Malgré une production d’électricité inférieure à celui de l’éolienne horizontale, ce système valorisant l'énergie éolienne présente certains avantages : elle demande moins d’espace et peut ainsi être déployée dans les milieux urbains, par exemple.
L’éolienne flottante est une éolienne offshore montée sur une structure flottante sur l’eau. Elle a l'avantage de pouvoir être installée dans les zones où les fonds marins sont trop profonds pour les modèles fixes.
Encore en phase de développement, l'éolienne flottante rencontre encore quelques contraintes techniques (stabilité et ancrage du système dans l’eau, résistance aux conditions maritimes extrêmes...). Malgré ces défis, ce type de projet éolien présente un potentiel immense (exposition au vent fort et constant du large, impact visuel et environnemental réduit...).
L'éolienne de toit est une micro-éolienne qui, comme un panneau solaire photovoltaïque, est installée sur la toiture d'un bâtiment. Adaptées aux zones urbaines, elles peuvent assurer la production d’électricité à petite échelle pour l’autoconsommation.
En conclusion, on trouve une grande variété d’éoliennes en France (terrestre ou en mer, industrielle ou domestique, horizontale ou verticale...). Toutes contribuent au développement de l’énergie éolienne sur le territoire français. Comme toutes les énergies renouvelables (solaire, hydraulique...), elle constitue un levier incontournable de la transition énergétique de notre pays.
Une éolienne est un dispositif qui permet de transformer l’énergie cinétique du vent en énergie électrique. Il existe différents types d’éoliennes : elle peut être terrestre ou offshore, installée dans un grand parc éolien ou dans un jardin, horizontale ou verticale... Chaque modèle d’éolienne est adapté à des projets, des conditions et des usages spécifiques (autoconsommation ou intégration au réseau électrique public, par exemple).
En France, on trouve principalement des éoliennes terrestres, installées sur la terre ferme dans des parcs éoliens. Les éoliennes offshore, implantées en mer, se développent de plus en plus. Les éoliennes domestiques se déploient également à travers le pays. Ce type d’installation est souvent destiné à l’autoconsommation : comme avec un panneau solaire, la production électrique sert à alimenter les logements des particuliers ou les locaux des entreprises.
Les éoliennes terrestres sont installées sur le sol, dans des zones rurales ou montagneuses, bien exposées au vent. Les éoliennes offshore sont quant à elles déployées dans l'eau, au large des côtes, où la vitesse et la force du vent sont plus importantes et régulières.
Le rotor des éoliennes a généralement 3 pales, car ce nombre permet d’optimiser leur fonctionnement, leurs performances, leur stabilité, leur durabilité et le coût du projet éolien. En effet, avec plus de 3 pales, l’éolienne pourrait être plus résistante à la vitesse et la force du vent, ce qui induirait une diminution de sa production énergétique.
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